Vivement actif depuis 5 ans lorsque j’ai rejoint le groupe, Lowmilk m’a permis de jouer sur de prestigieux plateaux comme le Zénith de Paris, le Transbordeur à Villeurbanne, le Fil à Saint-Etienne avec Archive, notamment, pour leur « Controlling Crowds Tour ». J’ai pu développer mon jeu de basse en travaillant avec de talentueux musiciens et compositeurs, toujours à la recherche de nouveaux sons.
Sur fond de Rock Indé ponctué d’atmosphères electro, Lowmilk a toujours cherché à se renouveler, par ses méthodes de composition, toujours en quête de nouvelles influences, d’ambiances, d’instruments. Intégrant deux musiciens également présents dans plusieurs projets, dont Hey Hey My My, chez Sober & Gentle (Cocoon), le groupe a toujours arpenté des scènes enrichissantes.
Aujourd’hui hélas dissout, est l’un de ces groupes qui avait tout le potentiel d’accomplir de grandes choses et qui a, pour diverses raisons, fait des choix différents. La leçon à retenir de tout ça est que le potentiel artistique d’un groupe, ou d’une entité musicale ne fait pas tout. Mais pour clore cet article sur une note positive, j’indique tout-de-même que l’aventure continue sous une autre forme puisque Joël Toussaint et moi-même faisons à présent partie de Morning, qui a accueilli au début Michel Aubinais, ancien batteur de Lowmilk.
On se regarde quand même une petite vidéo de notre passage au Zénith de Paris, ok?
Nine Months :
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Another night no anthem :
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